Rien n’est jamais du au hasard, le retour du cheval de trait sur nos terres est bon pour nos sols. Les intérêts agrologiques sont nombreux.

Plusieurs études révèlent qu’un sol travaillé avec un cheval est quatre fois moins tassé qu'un sol labouré mécaniquement, le tassement n’est pas régulier comme celui engendré par des roues qui passent toujours au même endroit. Un cheval de trait de taille moyenne est plus léger qu’un tracteur, et le cheval répartit son poids sur quatre pieds.

Le cheval de trait permet de raisonner l'utilisation du tracteur , et de montrer que l’on peut faire autrement, pour un sol meilleur.

Le travail lent (3km/h) et l’absence de vibration réduisent le compactage des sols. En effet, la vitesse de rotation des outils favorise la compaction des sols.

L'utilisation du cheval dans les vignes permet de réduire les passages du tracteur, qui compacte le sol et participe à l'érosion des vignobles.

En maraichage sur des petites surfaces (5 ha), le cheval de trait est compétitif. Trait de Cheval vous propose de nombreuses prestations dans ce domaine.

Le cheval intervient aussi sans problème là où l’utilisation du tracteur devient dangereuse, voire impossible. Le cheval ne craint pas le dénivelé, il tourne sur lui-même (dans un carré d’un mètre de côté), il est très maniable et peut intervenir là où le tracteur ne s'aventurerait pas.

Pour le débardage des zones forestières difficiles ou pour les passages étroits dans les jardins, le cheval de trait passe partout.

En cette époque où l’on nous parle de bilan carbone, de consommations énergétiques exagérées, utilisons le cheval de trait en traction animale. Le cheval agricole sur nos terres, c'est du développement durable et de la protection de l'environnement.

Le consommateur associe le cheval à nature. L'efficacité agronomique et écologique du cheval n'est plus à lui démontrer. L'image qu'il procure doit être utilisée pour optiminiser l'utilisation du tracteur. L'utilisation du cheval agricole pour des interventions comme le binage est équivalent au tracteur, pour un coût moindre.
Nos vignes dans le VAR couvrent une grande partie du territoire, pourquoi ne pas utiliser la traction animale. Comme souvent, c’est une question de volonté, la rentabilité sera conservée, et certainement améliorée car l’image que procure le travail de la terre avec un cheval correspond à l’attente des consommateurs.